Bataille de Jumonville’s Glen

Suivant: Bataille de Fort Necessity
Bataille de Jumonville Glen
 Bataille de Jumonville Glen
Campagne : Guerre Française et Indienne
Date : 28 mai 1754
Lieu: Uniontown, Pennsylvanie
Résultat : Victoire britannique
Combattants

 Treize Colonies.png Treize Colonies
 Drapeau des Iroquois.png Confédération iroquoise

 Drapeau de la France.png France

Commandants

George Washington
Tanacharison

Joseph Coulon de Villiers de Jumonville

Force

40 milice coloniale
12 Mingos

35 soldats

Victimes

1 tués
2 blessés

13 tués

La bataille de Jumonville’s Glen, également appelée l’affaire Jumonville, a duré quinze minutes bataille livrée entre les Treize Colonies et le Royaume de France qui a déclenché la guerre française et indienne.

Contexte

En 1622, la Confédération des Powhatans a fait la paix avec les colons anglais et la côte est de l’Amérique a été dégagée pour la colonisation blanche. Cependant, de nombreux empires sont venus à la recherche de terres et les Français ont construit une série de forts dans la vallée de l’Ohio pour fortifier une ligne reliant le Canada et la Louisiane. George Washington a été envoyé pour exiger leur retrait immédiat par le gouverneur Robert Dinwiddie. Avec 52 Colons et Iroquois, Washington marche sur le fort Duquesne, où il prévoit d’exécuter son quota. Cependant, il rencontre un groupe de scouts sous les ordres de Joseph Coulon de Villiers de Jumonville et une fusillade éclate.

Bataille

Les deux camps se sont rencontrés dans une escarmouche qui a duré 15 minutes. Les Britanniques et les Iroquois ont tendu une embuscade aux Français, tuant 14 d’entre eux avec des pertes négligeables. Coulon accepta de se rendre, mais fut tué par le chef indien Tanacharison, violant le traité. Washington a été étiqueté pour le meurtre d’un officier français et est devenu un ennemi de la France.

Conséquences

Pour se venger de la perte de son frère, Louis Coulon de Villiers dirige une armée pour punir les colons britanniques. Il prit le fort Necessity et força Washington à signer un document admettant le meurtre de l’officier français avant de laisser ses hommes quitter le fort avec toutes leurs armes et leurs fournitures.

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