Une Vie au détail Après la MFA

Poème original réimprimé en ligne ici: « Blackberring » par Sylvia Plath
Plus d’informations sur la poétesse: Sylvia Plath

 » Personne dans la ruelle, et rien, rien que des mûres. »J’ai continué à relire cette ligne d’ouverture ces deux derniers jours. Il y a une double focalisation ici du visuel des mûres et de l’état d’esprit de « rien. »Avec ces trois strophes de 9 lignes, il y a plus un jeu de ce qui est vu et de ce qui n’est pas une scène entrecoupé de technique et de personnel dans lequel je n’arrive toujours pas après avoir relu ce poème.
« Des mûres de chaque côté, bien qu’à droite principalement, / Une allée de mûres, descendant en crochets, et une mer / Quelque part au bout de celle-ci », Donc la mûre et la description du décor servent plus de distraction que de mise en place. Notez comment l’orateur est capable d’introduire une ligne dupliquée comme « quelque part à la fin de celle-ci » qui fait référence au cadre, mais semble être conforme aux termes ambigus comme « personne » et « rien ». Le hoquet comme celui-ci continue avec le poème plus les images sont explorées.
« Mûres / Grandes comme la boule de mon pouce, et muettes comme des yeux / Ébène dans les haies, grosses ». Notez que la description est très spécifique mais c’est aussi l’introduction de l’enceinte qui crée automatiquement une comparaison, d’abord le différentiel de taille.
Puis l’hyperbole, « Avec du jus bleu-rouge. Ils me les gaspillent sur les doigts. / Je n’avais pas demandé une telle fraternité de sang; ils doivent m’aimer. »C’est un changement si radical par rapport à la description du réglage. Et tout comme les jus, cette description amène l’attention sur elle-même à proclamer une émotion ou à dire qui n’est pas suivie d’effet: « Ils s’accommodent de ma bouteille de lait, aplatissant leurs côtés. » Même anthropomorphisées, les mûres ont cet accommodement discret envers le locuteur they elles se plient à la description, à l’émotion et à l’image.
« Au-dessus des tousses noires et cacophoniques cough / Des morceaux de papier brûlé roulent dans le ciel soufflé. Notez l’allitération continue des sons « b » et « c » comme pour simuler la « cacophonie » selon laquelle « la leur est la seule voix, protestant, protestant », que peut-être? Ce n’est pas important. Ce qui est important, c’est que les orateurs descendent dans la technique et la description développe davantage le « personne » et le « rien » au début. Le locuteur essaie de donner des caractéristiques à certains indescriptibles: la façon dont les mûres se moulent, le sens derrière la cacophonie des voix, « Je ne pense pas que la mer apparaîtra du tout. »De plus, ce désir de la mer d’être là as comme dans la première strophe et ici.
Je ne suis pas sûr de cette partie:
Les hautes prairies vertes brillent, comme éclairées de l’intérieur
J’arrive à un buisson de baies si mûres que c’est un buisson de mouches,
Accrochant leur ventre bleu et leurs ailes dans un écran chinois.
La fête du miel des baies les a étourdis ; ils croient au ciel.
Un crochet de plus, et les baies et les buissons se terminent.
Je veux dire que la technique est là the la comparaison et le contraste de l’intérieur et de l’extérieur (« éclairé de l’intérieur ») les images qui ne s’additionnent pas dans un sens surréaliste ou réel mais décrivent ce sens du rien, « buisson de mouches » devenant une métaphore qui ne va nulle part, et les proclamations, « ils croient au ciel » qui décrivent l’extérieur, mais pas tant l’intérieur. Mais la décomposition stagne un peu, la « fin des buissons » ne se termine pas vraiment.
Comme le font les pensées de la mer, « La seule chose à venir maintenant est la mer. »Un besoin plus permanent que le locuteur veut mais qui ne semble pas venir. Mais la description de l’endroit où se trouve actuellement l’orateur, « D’entre deux collines, un vent soudain m’entonnera, / me Giflant son linge fantôme au visage. »
je suis désolé, j’essaie d’analyser un poème debout tout seul, mais en lisant Sylvia Plath, je sens que ce poème laisse présager son suicide éventuel the la discussion des fantômes, des jus comme du sang « , croient-ils au ciel. » C’est très fort. Et l’extérieur agit, fait, change, mais l’intérieur this ce besoin de la mer est cohérent. Et pourquoi la mer, « Qui ne regarde rien, rien d’autre qu’un grand espace. »La mer n’équivaut à rien. Mais à l’intérieur de cela, rien n’est le son « de lumières blanches et d’étain, et un vacarme comme des orfèvres / Battant et battant sur un métal insoluble. »Le son qui continue comme la mer qui hante et que le locuteur continue de vouloir.

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